mercredi 21 mars 2012

Fontaine Sainte Valérie

Une fois de plus une pierre s'est dérobée et, à la place, j'ai trouvé une fontaine, dédiée à Sainte Valérie. Lorsqu'on arrive, on la découvre de dos :


Et, quand on s'approche...


Un petit autel y est aménagé :


L'eau sera testée dans quelques jours, histoire d'en connaitre ses vertus. Je vous tiens au courant !



Agrandir le plan

samedi 17 mars 2012

Fontaine de Saint Remi

Aujourd'hui je cherchais un dolmen qui n'a pas voulu se montrer...
Pourtant, au détour d'un chemin :


Alors bien sur je m'arrête et je trouve ce trou dans la terre d'où l'eau sort sans aucune retenue.


Une rigole permet à l'eau de rejoindre un lavoir, certainement construit par la suite pour ne pas perdre cette eau précieuse qui sort de terre toute seule.


Une croix, taillée dans le granit nous indique que ce lieu a été récupéré par le Christianisme. Il a dû faire l'objet de nombreux pèlerinages.


Vous remarquerez, au centre de la croix, un soleil (???) :



Des Saint Rémi, on en a quatre :
- Saint Rémi de Reims (mort en 533)
- Saint Rémi de Rouen (mort en 771)
- Saint Rémi de Strasbourg (mort en 783)
- Saint Rémi de Lyon (mort en 875)
Le plus célèbre d'entre tous est sans doute Saint Rémi de Reims qui a baptisé Clovis. Son premier miracle a été de rendre la vue à un aveugle.

Un puits taillé dans la masse du granit semblant se perdre dans les entrailles de la terre, tel est l'aspect de la fontaine Saint Rémy, de Mourioux. Une fontaine qui voisine avec un ancien lavoir, à proximité du bourg.
Saint Rémy est le patron de la paroisse.
Le pélerinage de cette fontaine se déroulait autrefois le 1er octobre, il attirait la grande foule.
On dit que cette fontaine remonte  à l'âge de fer, plus précisément à la période de Tène de la Gaule indépendante.
L'eau de Saint Rémy guérissait les entorses, les foulures, les maux d'estomacs. Elle était surtout recommandée pour soigner les convulsions des enfants.
Les anciens se souviennent qu'on y trempait les brassières des bébés. On devait les remettre humide sur le corps de l'enfant.
Tel était cet ancien culte gaulois que la procession avait christianisé.
Robert Guinot - Creuse Secrète - Ed. René Dessagne


jeudi 15 mars 2012

La misère en Creuse, pourquoi ?




N
otre "pays" se situe au centre. Il subit les influences des climats océaniques et continentaux avec gelées, sécheresses, averses. C'est une terre rude où les hommes auraient pu "élever la pauvreté à la hauteur d'une divinité".
C'est cette dureté qui fait le caractère des habitants, l'enracinement, la profondeur de leurs sentiments.


S
ur les flancs des Monts de Toulx, entre Boussac et les Pierres Jaumâtres, dans une petite chaumière vivait il y a longtemps déjà un homme seul. Il travaillait à la journée dans les fermes alentour, n'était pas riche et s'appelait "Misère";
Une maison de deux pièces, couverte de chaume et le jardinet situé devant qui touchait le chemin était tout son bien.
Le jardin toujours travaillé possédait un seul arbre ; mais quel arbre ! Un très beau poirier qui donnait chaque année de magnifiques fruits que le père Misère dégustait avec plaisir et qui lui servaient également à rendre les cadeaux qu'on pouvait lui faire.
Ce poirier qu'il regardait souvent, assis sous la fenêtre sur une pierre en guise de banc, il en était fier : c'était aussi la cause de son seul souci.

Agé de plus de soixante ans, il continuait à travailler sans problème, ni pour sa santé, ni pour l'argent (il n'avait pas de grands besoins). Mais à la saison des poires, chaque année il avait les mêmes ennuis ; pendant son absence on lui volait ses poires.

...le temps passait...
Un jour, le soleil était déjà bas, le père Misère, assis sur sa pierre à fumer tranquillement la pipie (une pipe culottée d'un goût unique) voit arriver sur le chemin deux hommes assez grands vêtus de houppelandes avec de longs bâtons. "Des pélerins, pensa-t-il qui vont à Saint Jacques et qui ont perdu leur chemin". Ils avançaient lentement, visiblement fatigués.
- Oh les hommes ! Entrz donc, nous allons trinquer. Vous m'avez l'air épuisés, "que vos far pas d'mo"... Ainsi le père Misère offrit aux deux passants un peu de repos et de réconfort.
-Je ne suis pas riche mais il reste du vin, "n'so beranbe", du fromage, quelques noix, un peu de pain ; entrez, nous allons faire "quatre heures".
Il était bien six heures mais c'était une façon de parler.
Dans la pièce commune de sa chaumière, le vieux travailleur et ses invités se restaurent frugalement car les provisions partagées en trois, cela faisait peu, mais le geste y était ; les deux voyageurs appréciaient.
Après quelques échanges de leurs expériences réciproques, après l'énoncé d'une à deux tranches de vie, le moment est venu où les passants doivent repartir.
Ils se lèvent, leur hôte les accompagne jusqu'au chemin.
Au moment de la séparation, l'un deux parle :
- Père Misère, je voudrais faire quelque chose pour vous remercier de votre accueil ; exprimez un souhait, je vous promets qu'il sera exaucé.
Surpris, le père Misère fait savoir qu'il ne souhaite rien, que sa vie lui donne les joies qu'il attend...
L'autre insiste :
- Vous avez bien quelque chose qui vous gêne, qui vous cause parfois de la peine ?...
- Non rien, dit le père Misère, ce que je possède me suffit, et il montre sa maison, son jardin... Dans son geste, il voit le poirier.
- Ah si ! J'ai bien un petit problème mais il est peu important. Chaque année des garnements viennent me voler quelques poires.
- Eh bien, dit l'homme, soyez tranquille, on ne vous les volera plus !
Et les voyageurs partent...


L
es mois passent... A la saison des poires, le père Misère a oublié la rencontre avec les deux pèlerins. Un matin, partant au travail, il regarde son poirier. Les poires sont magnifiques cette année ; ce soir, celles de cette branche seront bonnes à cueillir.
De retour chez lui vers dix-huit heures, une surprise attendait le père Misère.
Dans son poirier il trouve un garçon qui supplie :
- Père Misère, aidez-moi à descendre ; je voulais prendre quelques poires mais me voilà collé à l'arbre, je ne peux plus bouger.
De fait, le garçon, la main gauche accrochée à une branche, le bras tendu vers les poires, est plaqué au poirier.
Le père Misère se souvient alors de la promesse que lui avait faite le pèlerin, mais il la chasse de son esprit.
- Je ne suis pour rien dans ton affaire garçon, débrouille-toi, tu n'avais pas à venir chez moi.
L'autre insiste, lui dit que depuis des heures il essaye en vain de descendre.
- Mon petit, réplique Misère, s'il ne tenait qu'à moi, je te laisserais bien descendre... ; à ces mots le voleur est "libéré", il descend et prend la poudre d'escampette tout heureux d'être délivré.

Les jours passent et à trois reprises des enfants ou des "chemineaux" sont trouvés dans le poirier toujours collés au tronc ou aux branches au moment où ils allaient accomplir leur larcin, et chaque fois c'est en leur disant : "si ça ne tenait qu'à moi, je te laisserais bien descendre"... que le père Misère libérait ces voleurs n'ayant rien pu voler.

Alors dans la région, autour des Pierres Jaumâtres, la nouvelle se répand. Et, depuis de jour là, jamais plus personne n'est venu essayer de voler les pierres.
Les père Misère dut convenir que l'étrange voyageur avait tenu sa promesse, mais qui pouvait-il être ? La question est restée sans réponse.


L
es années passent... Le père Misère a maintenant 99 ans ; il ne travaille plus mais on le voit souvent dans son jardin où il "bricole" encore un peu. Le poirier est toujours là, en bon état.

Un soir, le vieux monsieur, qui appréciait beaucoup la tombée du jour pour les changements de couleurs sur les pentes des coteaux, sent sur son épaule de vieillard le poids d'une main ; il tourne la tête et se trouve face à la "faucheuse".

La faucheuse, c'est la mort, un simple squelette qui porte une faux our "faucher" nos vies.
Le dialogue s'engage :
- Que viens-tu faire ici ? Je suis encore vaillant et n'ai rien à faire avec toi, passe ton chemin, lui dit Misère.
- Pas du tout, j'ai beaucoup de travail cette nuit dans la région, en Asie, en Amérique... et tu es le premier de ma liste, alors...
- Alors rien du tout, je ne suis pas décidé.
- Allons père Misère, à 99 ans, tu as bien assez vécu !
Le vieux ruse... Il n'était pas préparé mais il réfléchit vite et il trouve :
- Écoute, à tout condamné, on offre le dernier verre ou la dernière cigarette !?!
- Oui d'accord. Que veux-tu, demande la Faucheuse ?
- Une dernière poire, de mon poirier, tu vois celle qui est là-bas ? Mais je suis trop vieux pour aller la cueillir, alors je te demande de le faire pour moi.
La Faucheuse grimpe dans le poirier dans le sinistre bruit des os qui s'entrechoquent. Accrochée à une grosse branche, elle tend sa main décharnée vers la poire, et... clac... comme les voleurs précédents, la voilà collée au poirier.
Le père Misère éclate de rire : "té vié-tu, et séb'inker bo à kokarre (ru vois, je suis encore bon à quelque chose)".
La Faucheuse secoue ses os dans un bruit infernal, elle s'agite pour li libérer ; rien à faire !
- Oh père Misère, dégage-moi ! J'ai beaucoup de travail et pas une minute à perdre.
- Non... seulement si tu promets de partir vite et loin sans t'occuper de moi.
- Mais non, tu es en tête sur la liste d'aujourd'hui, je dois le faire.
- Alors reste où tu es...
Après un grand moment et des efforts vains, la faucheuse accepte la condition.
- C'est entendu vieux malin, si tu me fais descendre de là, je ne m'occuperais plus jamais de toi.
Le père Misère vient de réussir son coup et il prononce la phrase :
- S'il ne tenait qu'à moi, je te laisserais bien descendre...
Dans un bruit d'os heurtant le bois, la Faucheuse se retrouve à terre, prend sa faux et file comme promis.


V
oilà pourquoi la Misère existe toujours dans notre "pays" puisque la Faucheuse ne peut plus la tuer...

(Robert Le Labousse- Les Pierres Jaumâtres)

jeudi 8 mars 2012

La fontaine de Saint Pardoux

Au détour d'un petit chemin forestier, on se retrouve nez à nez avec cette petite croix posée à même un rocher :

Juste à côté, le gardien veille :

Encore quelques mètres et les voici, car elles sont deux côte à côte :



Un petit fauteuil juste en face vous invite à vous assoir, face à ces fontaines


alors profitez de l'invitation, détendez-vous et laissez-vous emporter par la magie du lieu...
Site dédié à Saint Pardoux né à Sardent en 658.


Facile à trouver mais les 800 derniers mètres se feront à pied ;)

A voir à proximité  :



Les Pierres Boutelines

Connaissez-vous l'histoire des Pierres Boutelines ? Cela remonte au temps lointain où Saint Martial parcourait le monde.

(...) C'est ainsi que, pour éviter Sardent, il passait au nord de ce bourg, près de Lavaud-Blanche, quand il fut pris par la faim. Il s'arrêta dans un vallon étroit, au pied d'une montagne et puisa dans sa besace. Hélas elle était bien plate, n'ayant pas été regarnie depuis son départ de Toulx. Il mangea les quelques croutes qu'il y trouva, puis la retourna pour recueillir les miettes qu'elle contenait encore. Il n'y avait plus que du sable qu'il jeta violemment autour de lui. Chaque grain, en touchant le sol, se mit à grandir et bientôt, le vallon se trouva tout hérissé de rochers verticaux dispersés dans un tel désordre qu'on pouvait les comparer à un troupeau de moutons...





Il y a quelques années, ils y étaient encore !

Source : Gilbert Laconche - Légendes et Diableries Creusoises, tome 2
Localisation : Sardent (23) facile à trouver.
Nous y sommes accueillis par deux petits personnages sympathiques taillés à même le granit :




Saint Martial
"Saint Martial, évêque de Limoges, est un des saints les plus populaires de l'Aquitaine. Aujourd'hui encore vingt-trois villages portent son nom, et de nombreuses paroisses lui sont dédiées. Il est généralement reconnu comme évangélisateur du Limousin et comme le fondateur du siège épiscopal de Limoges. Mais on a longtemps discuté sur son origine, sur l'époque durant laquelle il a vécu et sur le déroulement des principaux événements de sa vie, en particulier sur ses relations directes avec le Christ dont il aurait été l'un des disciples. Aujourd'hui son histoire, débarrassée de légendes qui s'étaient accumulées au cours des âges, apparaît plus clairement. A la suite de Grégoire de Tours on admet qu'il fut un des sept évêques envoyés de Rome en Gaule vers les années 250. En effet les informations fournies par Grégoire de Tours ont été confirmées par les fouilles menées à Limoges en 1960-1961. Elles ont permis de retrouver la crypte de saint Martial contenant deux sarcophages monolithiques en granit, que les archéologues ont daté de la période allant du IIIe au Ve siècle: l'un serait celui de saint Martial, l'autre celui d'un des prêtres qui le secondait. Ces découvertes recoupent la chronologie établie par Grégoire dans son 'Histoire des Francs' (I,30). Saint Martial était particulièrement honoré à Bordeaux. On conservait à la basilique Saint-Seurin son bâton pastoral que l'on portait en procession durant les épidémies. Une église de la ville lui est dédiée et un village de la Gironde porte son nom."  
Il est fêté le 30 juin.

Selon Gilbert Laconche, dans ses légendes et diableries creusoises, la légende locale est toute autre :

Martial, venu à Ahun en suivant la route de Bourges à cette ville par Chateaumeillant et Toulx, se mit aussitôt à prêcher la religion du Christ, et invita les habitants à détruire leurs idoles. Les pontifes de Jupiter et de Mercure, furieux de ses attaques, ameutèrent la population. Martial fut saisi, lié au militaire de Gordien qui se dressait près du principal temple païen et flagellé longuement .
Détaché et meurtri des coups qu'il avait reçu, il fut contraint de s'enfuir au plus vite par les clameurs de la populace qui commençait à le lapider. Poursuivi à coups de pierres par la foule furieuse, il courut jusqu'à la fontaine Lagoutte. Arrivé là, épuisé, il dut s'arrêter. Il invoqua le Seigneur et, aussitôt sortirent de la forêt deux lions qui mirent en fuite ses persécuteurs. Il put alors se reposer un peu et étancher sa soif à la source.
Il reprit sa marche vers le sud, toujours suivi de loin par les gens d'Ahun grondants et menaçants mais toujours protégé par les deux fauves. Arrivé au militaire de la Pierre du Marteau, il se retourna, s'appuya de la main gauche à la borne, et tendant la dextre vers ses féroces poursuivants s'écria : Tant qu'Ahun existera, fous il y aura !
Il repartit, suivant toujours la voie romaine, et toujours escorté de ses deux farouche gardiens. A leur vue, les paysans fuyaient en criant des injures ; si bien que Martial décida de s'en défaire. Il imposa les mains sur les deux animaux qui furent aussitôt pétrifiés. Il approchaient de la Chapelle-Saint-Martial où l'un de ces lions de pierre se voit encore près de l'église ; le deuxième a été détruit il y a une centaine d'années.
Altéré par sa longue marche, Martial de désaltéra à une source abondante et claire qui se trouva sur son chemin. Depuis lors cette fontaine a gardé des propriétés miraculeuses. Elle guérit les enfants scrofuleux, les boiteux, les fiévreux, les goutteux et les paralytiques qu'on y plonge ou qui en boivent l'eau. Aussi, tous les ans le jour de la Saint Martial, les gens des environs vont-ils en longue procession de l'église de La Chapelle à la bonne fontaine. Ils y jettent des pièces de monnaie et certaines herbes de la Saint Jean ; ils y puisaient de l'eau dans de petites fioles pour leurs malades.
De leur côté, les habitants d'Ahun vont chaque année, le même jour, en procession expiatoire à la fontaine Lagoutte pour obtenir la rémission du péché de leurs ancêtres . Bien plus, il y a peu d'années encore, les jeunes mère d'Ahun portaient leurs nouveau-nés à la Pierre du Marteau et, de leur tête fragile, heurtaient doucement la borne. Elles espéraient préserver ainsi leurs enfants de la malédiction du saint homme.
Arrivé près de la Chapelle, Martial tourna vers l'ouest et continua sa route vers Limoges, en suivant la voie d'Aggripa par Sardent et Praectorium. Se méfiant des populations farouches de ces régions sauvages, il s'écartait un peu de la chaussée quand elle devait traverser une agglomération. C'est ainsi que pour éviter Sardent, il passait au nord de ce bourg, près de Lavaud-Blanche (...)



mercredi 7 mars 2012

Le Fauteuil du Diable

Connaissez vous le fauteuil du Diable ?


Enfin fauteuil, fauteuil, c'est vite dit ! Il y a longtemps longtemps, un jour que le Malin avait encore fait une diablerie sans nom, fut bien puni par un paysan du coin qui creusa un trou dans la pierre.
Le démon qui se déplaçait à la vitesse de la lumière ne vit pas le travail du paysan et se retrouva dans les entrailles de la terre.
Les villageois, sans doute pour se rassurer, sont convaincus encore aujourd'hui qu'il n'a toujours pas trouvé la sortie !
Mais l'on dit aussi :
Immédiatement au sud du Hameau de La Jarrige, commune de Sardent, une petite hauteur porte le nom des Chiers. Elle est couronnée par un entassement de rochers dont l'un est creusé d'une cuvette profonde connue sous le nom de Fauteuil du Diable. Cette cuvette (1) est perforée en son milieu :



et sa perforation donne dans une sorte de grotte qui serait la cave du Diable. A côté, une niche analogue, mais plus petite, entre les roches, est le Four du Diable.


La table de pierre qui le couvre porte à sa face supérieure un bassin connu sous le nom de Bénitier du Diable ; il y aurait toujours de l'eau mais cette eau porterait malheur : les jeunes filles de la région se garderaient bien d'y tremper leurs mains car elles seraient certaines de ne jamais trouver à se marier. 

Le Diable, à certaines dates, ferait du feu dans son four pour faire bouillir l'eau de son bénitier. Les vieilles gens des environs racontent qu'au moyen-âge, des seigneurs du voisinage faisaient supplicier dans le Fauteuil du Diable et même brûler dans son four les habitants de la ville de Diane.



( 1) il serait d'ailleurs intéressant de se poser un moment sous cette pierre pour voir ce qu'elle voudrait nous montrer par cette ouverture. Lors de ma prochaine visite en ce lieu, je m'y colle :)
source :
Docteur G. Janicaud "Folklore préhistoriques et rupestres - Les Fades (1941)
Recueilli par François Guyot "Pierres à légendes du Limousin"